Pour entamer ce séjour à Kyōto (京都), la visite habituelle au temple Kōdai-ji (高台寺) dans lequel j'aime à me rendre à chacun de mes
séjours ici, non que je sois bouddhiste ou shintoïste, mais simplement pour sa beauté et son calme. Ces premiers jours ensoleillés à Kyōto
m'ont permis d'obtenir une belle lumière pour les photographies, mettant en
valeur le contraste ciel bleu et le blanc et rose du sakura (桜).
Ihō-an (遺芳庵), l'ancienne maison de thé déjà présentée dans mes précédents articles sur le Kōdai-ji (2010,2011).
Kaizan-dō (開山堂), Kangetsu-dai (観月台) et l'étang Engetsu-chi (偃月池).
Kaizan-dō (開山堂) et Kangetsu-dai (観月台) d'où Toyotomi Hideyoshi (豊臣秀吉) aimait contempler le clair de lune.
Le dragon réalisé à base d'écorces, semblant sortir du gravier de la cour.
Le plan d'eau où se reflètent les arbres et le Kangetsu-dai lors du light up.
Petite vue globale, sous un autre angle.
Shigure-tei (時雨亭), un des deux pavillons de thé érigés par Sen no Rikyū (千利休), le célèbre maitre de thé japonais, sur la colline du Kōdai-ji.
Pause en fin de visite afin d'admirer le jardin en dégustant un matcha (抹茶).
De tous les matcha que j'ai bus à travers le Japon, celui-ci reste mon favori.
De retour le soir pour le light up. Ci-dessus le Kuri () à l'entrée.
Ihō-an (遺芳庵), de nuit et habilement illuminée.
Cette année le light up fut plus intéressant, le personnel du temple ayant façonné un dragon semblant émerger du gravier.
Le shidarezakura (垂れ桜) du jardin.
Le jardin sec et son dragon aux allures fantomatiques sous l'éclairage bleuté.
Kaizan-dō, Kangetsu-dai et Otama-ya
(霊屋) sur la colline, le mausolée de Nene et de Hideyoshi.
Kaizan-dō et le Kangetsu-dai.
Kaizan-dō et le Garyūrō (臥龍廊), le corridor du dragon incliné.
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