Après
cette petite halte autant agréable que nécessaire -les marches sont longues
entre les différents sites, et un planning serré s'impose si l'on désire
apprécier sans stress le hanami (花見) de Kyōto (京都)- notre
petit périple se poursuit en direction du fameux Heian-Jingū (平安神宮), passage obligé en raison de la beauté de ses jardins, de son
plan d'eau et de ses bâtiments. Là encore, en raison de l'heure peu avancée, très
peu de visiteurs en comparaison des années passées et de belles
photographies en perspective.
Ōten mon (応天門), bâtit en 1894.
Byakko- rō (白虎楼), la Tour
du tigre blanc.
Sōryū-rō (蒼龍楼), la Tour du dragon bleu.
お疲れ様でした (otsukaresama deshita) ou "vous
devez être fatigués". Photographie intéressante en raison des deux
ouvriers portant un tuyau, évoquant une scène du passé, le
travail ayant toujours occupé une place prépondérante au pays du soleil levant.
Une
première vue des jardins et de ses nombreuses structures de sakura. Minami Shin'en (南神苑) le jardin du Sud.
Une autre vue.
Les matsu (松), les pins japonais, dont
j'apprécie la forme et les couleurs, m'évoqueront toujours le
Japon.
Nishi Shin'en (西神苑) le jardin de l’Ouest, qui dispose d’un étang appelé Byakko ike (白虎池).
Garyu-kyo (臥龍橋) ou "pont du dragon couché", un pas japonais dans Naka Shin'en (中神苑) le jardin du milieu.
Une pagode noyée dans cet océan de verdure.
Higashi Shin'en (東神苑) le jardin de l’est, face au Shobi kan (尚美館).
Vue sur le Taihei-kaku (泰平閣) et le Shobi kan, et l'étang Seiho ike
(栖鳳池).
Le Taihei-kaku en zoom.
Le Shobi kan et un tōrō (灯籠).Le Shobi kan depuis le Taihei-kaku, avec son reflet sur l'eau.
Le Shobi kan, dans son cadre de matsu et de sakura.
Et un petit plan d'eau juste avant d'accéder au pavillon.
Le Taihei-kaku encore une fois.
Petite vue la treille de sakura.
Et pour finir cet article, ce cliché d'un héron sous cette cascade de sakura.
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