Nous voici devant le Kiyomizu-dera (清水寺), célèbre temple bouddhiste de Kyōto (京都), qui attire les foules lors du momijigari (紅葉狩り) et du hanami (花見). L'origine du Kiyomizu-dera remonte
à 798, mais les bâtiments actuels datent de 1633. Le nom du temple
vient d'une chute d'eau se trouvant dans son enceinte, la kiyoi
mizu (清い水), signifiant eau pure ou eau de source.
Vue sur l'Oku no in (奥の院) depuis la plateforme du Hondō (本堂).
Que de couleurs pour mettre les bâtiments de ce temple en valeur.
Le bâtiment principal, Hondō, d'où l'on a une très belle vue sur Kyōto. Pas un seul clou n'a été utilisé dans la construction. La plateforme repose sur des piliers de 12 mètres en bois Zelcova.
Une autre vue.
Une autre vue du Hondō depuis l'Oku no in, embrassant l'ensemble du bâtiment.
Sanju no tō (三重塔), plus haute pagode de 3 étages du Japon, construite en
1633, repeinte en 1987 dans sa couleur vermillon d'origine.
Momiji...
Vue de la pagode depuis le bassin en contrebas.Le Niōmon (仁王門), marquant l'entrée du site : retour au site le soir venu, pour le light up.
Que d'illuminations...
Une vue du Saimon (西門) et du Sanju no tō sous les feux.
Le Shōrō (鐘楼), qui date de 1607 fut repeint en 1999 à l'identique.
Place au light up à présent, assez de dates et de noms !
Belle ambiance, lumière adroitement répartie, j'ai beaucoup apprécié ce light up malgré la foule.
Une jolie vue du Hondō et de Kyōto au loin depuis l'Oku no in.
Et une autre encore, pour le simple plaisir des yeux.
Une vue sur Kyōto la nuit, parée de tous ses feux.
L'expression Kiyomizu
no butai kara tobioriru (清水の舞台から飛び降りる) signifiant approximativement "se jetter du Kiyomizudera" correspond plus ou moins à notre "se jeter à l'eau" national. Durant la période Edo (江戸時代),
il semblerait que 234 personnes aient sauté de cette plateforme au fil
du temps, car il est dit que celui ou celle qui sautera et survivra,
verra son vœu exaucé.
Pour finir le chapitre Kiyomizu-dera, le Sanju no tō sous les feux du light up.
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